En septembre, c’est toujours un peu la même chose. Pendant deux ou trois semaines, je suis très occupé par la préparation de la Fête de l’Humanité. J’en oublie la petite dépression qui va me tomber dessus, à la fin de ce week-end-là, comme chaque année. L’atterrissage est toujours un peu difficile. Cette année, j’ai beaucoup débattu, notamment le samedi, avec des interlocuteurs divers, certains proches de moi, d’autres beaucoup moins. Mais au moins, on échange sans trop de langue de bois pour une fois.
Retour sur ma fête de l’Humanité, quand la politique redevient un dialogue et une discussion.